Voyage

Bien choisir son matelas autogonflant

Le 18 octobre 2018 — 2 minutes de lecture

Que l’on parte en camping, en trekking ou à la plage, le choix de son matelas autogonflant est essentiel. Quoi de pire que mal dormir lorsque l’on est en vacances ou en randonnée ? Nous vous expliquons comment choisir au mieux votre matelas autogonflant

Qu’est-ce qu’un matelas autogonflant ?

Pourquoi parle-t-on quasiment que des matelas autogonflants dans les magasins de randonnée ?. Bien sur, les matelas en mousse sont toujours appréciés, pour le prix surtout, mais pourquoi donc les matelas autogonflants requièrent-ils la majorité des suffrages ? Et bien, parce qu’ils sont pratiques, confortables et accessibles. Trois bonnes raisons de se pencher, et accessoirement de s’endormir, sur ce type de matelas. Le matelas autogonflant est l’allié de tous les randonneurs et il permet de dormir confortablement où que vous soyez. Vous pourrez évidemment l’utiliser au camping, et même dans votre jardin, si le cœur vous en dit. 

Les caractéristiques du matelas autogonflant

Un matelas autogonflant a deux buts principaux qui sont de vous apporter le meilleur confort possible et de vous protéger du froid. Tous ceux qui ont déjà dormir à même le sol savent que même un matelas très fin peut faire la différence pour passer une nuit dans de bonnes conditions, et donc profiter d’un sommeil réparateur. La plupart du temps, que ce soit pendant une randonnée ou au camping, le sol est loin d’être uniforme et ce type de matelas vous permettra d’éviter de sentir les aspérités provoquées par les cailloux ou les petites branches. 

Le second atout du matelas autogonflant est son isolation thermique. Il est vrai qu’au premier abord, ce n’est pas la chose primordiale pour un matelas. Et pourtant, comme pour les sacs de couchage, le matelas autogonflant vous permettra de vous réchauffer en vous protégeant de l’humidité du sol. Cette isolation variera selon les différents modèles, qui seront adaptés à des conditions climatiques plus ou moins extrêmes. 

À vous les gros dodos réparateurs